Vous en avez sous doute peut-être déjà entendu parler : le "Flash Mob", la naissance de rassemblements humains de nouveau genre !
FLASH MOB - LE CONCEPT
Le "Flash Mob" (Foule éclaire ou mobilisation éclaire en français) est le rassemblement d'un groupe de personnes à un moment donné dans un espace public. Les personnes réalisent ensemble une action convenue en avance.
Ces évènements s'organisent très souvent via internet à travers les différents réseaux sociaux que nous connaissons bien du type facebook, twitter, ou simplement par des chaînes de mails.
Elle peuvent être de toutes sortes. Vous avez :
- La chorégraphie = le classique où tout le monde se retrouve pour danser sur une musique, avec une chorégraphie préalablement préparé en amont et postée sur le net.
- Le Freeze = le groupe se figent quelques secondes et minutes
- Le PillowFlat = un des plus connus, la bataille de polochon en pleine rue
- L'expérience MP 3 = rassemblement pour écouter un son MP3 chargé sur le net à un endroit et moment précis !
- Le No Pan Day = dans le métro, se faire passer pour des usagers normaux... le truc en plus : tout le monde se retrouve sans pantalon
- La Zombie Walk = tous vêtus en zombie, se déplaçant ensemble.
Demain, ouverture de "Paris Plages" pour 1 mois de festivités sur les quais de la Seine. Vous pourrez ainsi voir s'alterner "plages de sable" et "bases nautiques", animées par des activités sportives et culturelles destinées à tout public : les locaux, les francilienscomme les touristes venant du monde entier.
L'été bien présent, voici un sujet très d'actualité sur l'occupation de l'espace public durant cette période. Nous passons d'une occupation principalement automobile à une occupation piétonne, et ainsi, s'offre aux parisiens de nouvelles possibilités pour s'approprier cet espace et vivre pleinement avec la Seine qui traverse la capitale.
Au-delà du simple fait que cela permet à la population de profiter de nouveaux loisirs de proximité, c'est également un bon moyen de revaloriser les quais pendant la période touristique la plus intense de l'année et donc : offrir une image "animée", "agréable" et "détendue" de Paris.
De l'autre côté du Danube, en face du centre-historique, se trouve le nouveau coeur économique de la ville. Entre différentes architectures massives, vous pouvez trouver la cité de l'ONU en Europe. Imposant, et se voyant de loin, cette architecture moderne diffère de l'architecture historique que connaît Wien.
Depuis la nuit des temps ou plutôt la découverte du feu par l’Homme à la Préhistoire le feu est un symbole important dans les religions et la vie quotidienne des civilisations : symbole de justice, de purification, de passage à l’au-delà, de passion et de tentation (les feux de l’amour, consumé de l’intérieur…).
Le feu de la Saint Jean
La fête de la Saint-Jean d'été, traditionnellement accompagnée de grands feux, est la fête de Jean le Baptiste. Elle a lieu le 24 juin, date à laquelle on fête uniquement les Jean composés - ne pas confondre avec le 27 décembre, date à laquelle on fête les Jean.
Déjà en des temps immémoriaux, les peuples païens célébraient le solstice d'été par un grand feu de joie, symbolisant la lumière qui était à son apogée. Puis, dans la France catholique de Clovis, on conservera la tradition du feu de joie pour célébrer la naissance de Saint Jean le Baptiste, le cousin de Jésus, appelé 'le baptiste' puisque c'est lui qui a baptisé le Christ, marquant ainsi le début de sa vie publique. Jean est donc celui qui sera la précurseur du Christ, "la lumière du monde" - d'où le lien avec le solstice et le feu de joie.
Ces feux de joie étaient réalisés chaque été dans la plupart des communes du reste de la France. Ils se sont maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, parfois jusqu’à la Seconde, qui leur a donné un coup d’arrêt définitif.
Mais que faisait-on autour du feu ? Des danses bien sûr, car cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions. “Aussitôt que les flammes pétillaient, tous les assistants, jeunes et vieux, se prenaient par la main et se mettaient à danser des rondes autour du foyer. Les jeunes filles surtout se livraient à cet exercice avec beaucoup d’entrain, car elles savaient qu’en dansant ainsi neuf fois autour des feux de la Saint-Jean, elles se marieraient infailliblement dans l’année.
Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des
rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise ! On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année.
Même si on ne brûle plus autant les bûchers pour le solstice d’été, le feu et la fête du feu est toujours présente dans notre culture. L’exemple principal est les Feux d’Artifices du 14 juillet, où villageois se déplacent dans chaque villages pour voir les différents embrasements de la nuit.
On se réapproprie les lieux, les sites historiques, les berges de fleuve et le temps d’un instant des milliers d’yeux sont tournés vers les étoiles et la voie lactée.
Un autre exemple : Une appropriation nocturne du parc Paul Mistral (Grenoble)
« La compagnie de renommée internationale Carabosse vous invite à un embrasement poétique du parc Paul Mistral. La nuit tombée, les lieux vous murmureront leurs secrets brûlants : lianes enflammées, boules de braises étincelantes, installations effervescentes. La compagnie Carabosse envoûte ses spectateurs grâce à une maîtrise spectaculaire du feu. Le flâneur sera le conteur de sa propre histoire, libre de contempler les flammes jusqu’à leur extinction et de tracer son chemin, forcément hors du commun, entre les cœurs ardents des brasiers et des forêts de lucioles lumineuses. Un voyage imaginaire et féerique au cœur d’une nuit d’été étincelante ! » - Présentation sur le site du cabaret frappé
Dans le cadre du « Cabaret Frappé », festival musical grenoblois de l’été, nous avons pu découvrir le dimanche 4 Juillet 2010, des installations de feu présentées par la compagnie Carabosse.
Une soirée qui nous a permis de découvrir pendant 3h, et d’une autre manière, le plus grand parc du centre-ville de Grenoble.
Bercé par une musique d’ambiance, nous avons pu découvrir différentes installations et structures métallique mobiles et immobiles accueillant lumière de feu.
Une approche intéressante pour animer un parc la nuit, surtout que ce sont des espaces qui nous donnent un sentiment d’inconfort la nuit voir même d’insécurité.
En effet, c’était un spectacle très poétique, beaucoup de légèreté et de délicatesse dans les installations et leur mise en place : une atmosphère reposante et tranquille.
Cet événement a fait venir beaucoup de personnes. C’était très appréciable de se balader et de se poser dans l’herbe afin d’admirer les différentes attractions. D’une certaine manière, c’était apporter la population a fréquenté un espace que généralement ils n’utilisent pas la nuit.
Architectes/designers : je ne sais pas qui c'est, mais si quelqu'un le sait, je veux bien avoir le nom.
Autre mobilier que nous pouvons trouver dans le quartier des musées, pour se reposer et se retrouver. Connus principalement en rose, selon les saisons les "fauteuils" sont changés et ainsi vous pouvez également les apercevoir en jaune ou en bleu.
L'eau est un élément naturel qui a de nombreuses qualités. L'idée de cet article est de faire une brève introduction sur l'intégration de l'eau dans l'architecture, qui peut bien sûr ouvrir la question sur l'urbanisme. Il sera donc présenté 1 projet de 2 architectes pour expliciter les qualités et les symboliques de l'eau en architecture.
Une faible liste face aux différents mots qui peuvent décrire cet élément.
L'eau est quelque chose de paradoxal : permet la vie comme peut être destructrice.
Par rapport à l'histoire, les habitations se construisent depuis toujours près d'un point d'eau et l'homme cherche perpétuellement à la maîtriser.
Par ailleurs, l'eau recouvre les 3/4 de notre planète, sous différentes formes : fleuves, mer, océan, glacier... Sans oublier la pluie bien entendu. Donc, l'eau est acteur de notre quotidien.
Certains architectes se sont intéressés à l'eau afin de l'introduire dans leur projet. Au final, l'eau devient par elle-même un élément d'architecture à part entière.
Deux architectes ont eu une approche un peu similaire sur son traitement: TadaoAndo et Louis Barragan.
Lieu : Kourou [ Guyane - France ] Année : 2001 Architecte : Brochet LajusPueyo agence d'architecture
Au bord du lac central de Kourou, vous pouvez voir au loin cet édifice en bois précieux. Une structure poteaux-poutre en bois, délicatesse dans les formes produites, un bel ouvrage. Mais un bémol tout de même: un peu seul au milieu de rien...
Vous pouvez trouver ces panneaux d'indications dans le quartier des musées de Vienne, afin de repérer les différents musées du site. Par ailleurs, ils sont facilement lisibles par tous et donne assez d'informations selon nos besoins.
Lieu : Tremblay-en-France [France - près de Paris ] Année : 1994 [ mise en service ]
Cette gare TGV se trouve dans l'aérogare n°2 du hub "Roissy-Charles de Gaulle". Pour sa réalisation, les architectes se sont inspirés des grandes verrières du XIXème siècle. En tout, c'est 27500m² de surfaces vitrées.