+ Lieu : Paris [France - Quartier Montmartre]
+ Maître d'oeuvre : Jean Bocabeille et Ignacio Prego (BP Architectures, membres du collectif Plan01) + EVP BET Structure + MTC BET Fluides + DAL économiste
+ Maîtrise d'ouvrage : La Mairie de Paris + DFPE + DPA
+ Entreprise : IBTP.
+ Année : 2010
+ Coût : 2 millions d’euros environ
+ Prise de vue : Janvier 2013
Dans la rue Picard au pied de Montmartre, coincée entre deux magasins de vente de tissus, une crèche collective a été imaginée par l'agence BP Architectures. Pour la concevoir, les architectes se sont interrogé sur la place des jeunes enfants et des espaces qui leur sont dédiés dans la ville.
La forme du bâtiment est née d'un jeu de géométrie rendant la crèche étonnante, insolite, voire même très amusante. Les espaces de transition, entre le public et le privé, entre la dimension institutionnelle et le cadre intime pour l'enfant ont été traité avec attention. La parcelle a pu être investie en profondeur par un jeu d'espaces intérieurs et extérieurs qui s'enroulent autour d'un noyau central et ce sur deux niveaux. Avec l'usage du zinc sur la façade et la toiture, sans oublier les panneaux de couleurs acidulées (jaune-rose-vert-rouge), le rythme monotone de la façade de la rue a été cassé. C'est comme si ces principes ont permis de recentrer le regard des habitants, des passants et des usagers sur cet espace pour permettre de porter un intérêt différent sur la petite enfance dans la vie du quartier.
La forme du bâtiment est née d'un jeu de géométrie rendant la crèche étonnante, insolite, voire même très amusante. Les espaces de transition, entre le public et le privé, entre la dimension institutionnelle et le cadre intime pour l'enfant ont été traité avec attention. La parcelle a pu être investie en profondeur par un jeu d'espaces intérieurs et extérieurs qui s'enroulent autour d'un noyau central et ce sur deux niveaux. Avec l'usage du zinc sur la façade et la toiture, sans oublier les panneaux de couleurs acidulées (jaune-rose-vert-rouge), le rythme monotone de la façade de la rue a été cassé. C'est comme si ces principes ont permis de recentrer le regard des habitants, des passants et des usagers sur cet espace pour permettre de porter un intérêt différent sur la petite enfance dans la vie du quartier.
Le seul point négatif : même si le bâtiment est neuf, la façade commence déjà à mal vieillir à cause de dégradations volontaires (graffiti) abîmant la peinture et les matériaux.
(ces 3 photographies par Guillaume Grasset via)
http://www.agencebp.com
http://architopik.lemoniteur.fr/index.php/realisation-architecture/creche_de_40_berceaux/3725
L'explorateur : Charline S. et Hugo B.
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