Lorsque nous nous lançons dans une marche « urbaine » (c’est-à-dire pas une rando en montagne !), nous pouvons être pris d’un coup d’un seul par à un sentiment d’émerveillement poussé ! La bouche ouverte, l’œil pétillant et nous voilà en train de rêver sur les immeubles ou maisons que nous rencontrons. Et oui, je suis sur que ceci vous est déjà arrivé et très souvent vous vous retrouvez à dire : « ah… si j’étais riche, j’achèterai ça et je vivrai la dedans ! ». Et là dans votre tête, vous imaginez la maison parfaite !
Selon moi, c’est une manière de s’intéresser à la ville sans forcément avoir un regard averti et d’expert en béton avec une grande culture architecturale. Nous avons des goûts et des envies, il suffit de les exprimer. L’art de la ville est ainsi accessible à tous : nous vivons la ville, nous en sommes les acteurs, nous la touchons, nous la ressentons…
Ce type d’expédition peut surtout se résumer par « Marcher la tête en l’air » ! C’est bien beau ce que nous faisons, mais c’est avant tout prendre le risque de ne pas savoir où poser les pieds… Et parfois, c’est le drame : une rencontre foudroyante avec un magnifique poteau… (le son en résonance « baaaammmmm !!! »)
Il ne faut pas renier cependant que c’est toujours une occasion pour regarder la ville que l’on habite sous un autre angle. Trop souvent, notre marche devient routinière, le pas devient sur, souvent rapide (voir type marathon) et la tête baissé car nous sommes trop pressés. On slalome entre les personnes et parfois nous nous énervons en criant mentalement sur la lenteur des gens devant nous : « impossible de doubler ! arghh ». D’autre fois par contre, la marche est plus lente accompagnée d’amis pour papoter. Cette fois-ci, c’est nous qui réduisons les flux de circulation piéton…
Sur ces mots, je vous dis bonne chance pour votre prochaine sortie ! La ville, c’est dangereux !
En plus, je pense que nous sommes tous identiques face aux coups de cœur architectural que peuvent-nous procurer les « promenades-découvertes » du centre-ville ou des villes que nous visitons.
Ce type d’expédition peut surtout se résumer par « Marcher la tête en l’air » ! C’est bien beau ce que nous faisons, mais c’est avant tout prendre le risque de ne pas savoir où poser les pieds… Et parfois, c’est le drame : une rencontre foudroyante avec un magnifique poteau… (le son en résonance « baaaammmmm !!! »)
Il ne faut pas renier cependant que c’est toujours une occasion pour regarder la ville que l’on habite sous un autre angle. Trop souvent, notre marche devient routinière, le pas devient sur, souvent rapide (voir type marathon) et la tête baissé car nous sommes trop pressés. On slalome entre les personnes et parfois nous nous énervons en criant mentalement sur la lenteur des gens devant nous : « impossible de doubler ! arghh ». D’autre fois par contre, la marche est plus lente accompagnée d’amis pour papoter. Cette fois-ci, c’est nous qui réduisons les flux de circulation piéton…
Mais, lorsque nous décidons de nous lancer dans une marche « tête en l’air », nous pouvons découvrir des choses que nous n’avons pas l’habitude de voir et peut-être prendre beaucoup plus le temps de découvrir le quartier : entre des toitures et sculptures étranges, des façades avec des avancées, des bizarreries et des monstruosités. La ville n’est pas parfaite, il faut s’y habituer.
Donc, pour revenir à la dangerosité de l’activité, c’est beau de pouvoir regarder la tête en l’air tout ça, mais les pieds restent bien sur terre malheureusement! Et oui, le slalom entre les crottes de chiens, les flaques d’eau et les propulsions aquatiques dans les chaussures lorsque les pavés sont mal posés sont vraiment là.
Qui n’a jamais connu ça ? Louper la marche du trottoir ? Se taper les pieds dans un truc qui dépassent du sol ?
Sur ces mots, je vous dis bonne chance pour votre prochaine sortie ! La ville, c’est dangereux !
Écrit par : Charline S.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire